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Soft Skills contre Hard Skills

La plupart des leaders préfèrent s’entourer de personnes dotées d’intelligence émotionnelle, avec des compétences de communication et aimant travailler en équipe, plutôt que de gens ayant des connaissances techniques spécifiques.

Les chefs d’entreprises et experts en ressources humaines savent que les « compétences comportementales » ou « soft skills » sont plus difficiles à trouver, mais que ce sont les plus importantes dans le monde des affaires. 92 % des employeurs croient que le secret réside dans une attitude positive. Les candidats ont besoin de motivation pour apprendre de nouvelles compétences, penser de façon innovatrice, faire face à l’échec, assimiler le feedback qu’ils reçoivent et collaborer avec leurs collègues.

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Les R.H. analysent la présence dans les réseaux sociaux

Parmi les compétences les plus appréciées par les chefs d’entreprises et les cadres dirigeant des équipes se trouvent le leadership, la productivité personnelle et la gestion du temps, la négociation et la résolution de conflits, et la communication.

Lorsqu’ils recrutent des candidats pour rejoindre leurs équipes, les responsables de l’embauche tiennent particulièrement en compte la présence dans les réseaux sociaux (ou l’absence). Les réseaux les plus consultés dans le cadre de la recherche de candidats sont LinkedIn (42 %), Facebook (40 %), Google+ (15 %) et Twitter (2 %).

Pourquoi devons-nous développer les « soft skills » ?

Quelle différence y a-t-il entre les compétences « comportementales » ou « soft skills » et les compétences « techniques » ou « hard skills » ? Pourquoi est-il important de développer notre potentiel en intelligence émotionnelle ?

Les personnes qui sont douées de « hard skills » sont généralement à l’aise dans des tâches ayant rapport avec les finances, la programmation, les statistiques, etc. Ces compétences restent inamovibles, quelles que soient l’entreprise, les personnes ou les circonstances de travail, et peuvent être acquises dans les livres ou dans une salle de classe. À l’opposé, les « soft skills » correspondent à la capacité de s’adapter aux changements, d’évoluer. Plus les changements sont attendus, plus les « soft skills » auront de l’importance. Les règles changent, tout comme notre façon de communiquer avec les autres. Les projets changent, tout comme la façon dont nous interagissons avec notre équipe. Et il n’est pas facile d’apprendre ce type de compétences : elles ne s’acquièrent que par la pratique, au fil des erreurs commises.

Des entreprises comme Gamelearn ont développé des simulateurs qui aident précisément à développer ces compétences que nous ne pourrions pas acquérir d’une autre façon. Des outils comme les serious games Merchants, Triskelion ou Pacific proposent des instructions et des techniques simples pour que nous puissions acquérir et maîtriser les « soft skills » et nous développer à la fois au niveau personnel et professionnel.

Communiquer avec les autres, apprendre à diriger, avoir une capacité de gestion et de négociation : autant de compétences exceptionnelles que nous devons apprendre à maîtriser, non seulement parce qu’elles développent notre potentiel, mais encore parce qu’elles sont, comme nous le disions plus haut, les plus recherchées par les chefs d’entreprises et leaders à succès.

Et vous, quelles sont les compétences que vous appréciez le plus ?

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Commentaires

  1. Tollec

    Tollec

    Tellement pas d’accord. Les softskills contribuent largement à ne pas regarder les difficultés de l’entreprises et à empêcher tout regard réaliste, y compris sur la conduite du changement. Elles cassent la hiérarchie, permettent de faire entrer un laxisme certain, voire la logique victimaire dans l’entreprise. Elles sont au business ce que la fausse bienveillance est à l’éducation des enfants, et ce que le progressisme extreme est à la politique.